Monument historique à Tirana, en Albanie
Illustrative
Albanie Schengen

Tirana

Des boulevards colorés avec la place Skanderbeg et le musée Bunk'Art, les musées Bunk'Art et des cafés animés.

Le meilleur: avr., mai, juin, sept., oct.
Depuis 51 €/jour
Chaud
#abordable #culture #nourriture #moderne #coloré #bunkers
Saison intermédiaire

Tirana, Albanie est une destination au climat chaud parfaite pour abordable et culture. Le meilleur moment pour visiter est avr., mai et juin, lorsque les conditions météorologiques sont idéales. Les voyageurs à petit budget peuvent explorer à partir de 51 €/jour, tandis que les voyages de milieu de gamme coûtent en moyenne 122 €/jour. Les citoyens de l'UE n'ont besoin que d'une pièce d'identité.

51 €
/jour
avr.
Meilleur moment pour visiter
Uniquement espace Schengen (sans visa)
Chaud
Aéroport: TIA Les meilleurs choix: Bunk'Art 1 Bunker de la guerre froide, Bunk'Art 2 Musée de la police secrète

Pourquoi visiter Tirana?

Tirana surprend en tant que capitale la plus colorée des Balkans, avec ses bâtiments peints aux couleurs de l'arc-en-ciel qui bordent les boulevards, ses bunkers de l'ère communiste transformés en musées par Bunk'Art et son téléphérique du mont Dajti qui monte jusqu'aux sommets d'où l'on peut admirer la ville qui s'étend en contrebas. La capitale de l'Albanie (530 000 habitants, 900 000 dans l'agglomération) est passée d'une dictature communiste isolée (la dernière d'Europe, qui a pris fin en 1991) à une destination émergente dynamique. L'immense place piétonne Skanderbeg Square est le cœur de la ville, avec la mosquée Et'hem Bey, la tour de l'horloge (ALL 200/2 €) et les bâtiments gouvernementaux colorés, tandis que le quartier de Blloku est passé d'une zone réservée à l'élite de Hoxha à un quartier branché avec des bars et des restos.

Bunk'Art 1 (~900 ALL/9 € immense bunker de la guerre froide) explore l'isolement paranoïaque de l'Albanie communiste à travers 106 pièces, tandis que Bunk'Art 2 (~900 ALL/9 €) se concentre sur la brutalité de la police secrète. Le téléphérique du mont Dajti (1 000-1 500 ALL/10 €–15 € aller-retour, Dajti Ekspres) atteint 1 050 m en 15 minutes et offre une vue sur l'Adriatique et des restaurants au sommet de la colline. Mais Tirana offre bien plus que l'héritage communiste : le quartier du bazar a gardé ses ruelles ottomanes, la pyramide de Tirana (le mausolée de Hoxha, aujourd'hui ruine de béton controversée) permet aux visiteurs de grimper sur une structure brutaliste, et les façades colorées transforment l'ancienne ville grise en décor Instagram grâce à l'artiste-maire Edi Rama.

Les musées vont du Musée national d'histoire (ALL 700/7 €) au musée de la police secrète House of Leaves (ALL 700). La scène gastronomique célèbre la cuisine albanaise : tavë kosi (agneau cuit au four avec du yaourt), fërgesë (poivrons et fromage), byrek (tarte) et raki à volonté. La culture des cafés est super populaire, avec plein de bars à expresso et des apéritifs à l'italienne.

Pour les excursions d'une journée, tu peux aller voir les maisons blanches de Berat classées au patrimoine mondial de l'UNESCO (2 h 30), le château de Krujë (1 h) et les plages de l'Adriatique (45 min de Durrës). Visitez le pays entre avril et octobre pour profiter d'une température de 15 à 30 °C, même si l'hiver (novembre-mars) est doux (5 à 15 °C) et humide. Avec des prix très bas (30 €–55 € s par jour), l'anglais de plus en plus parlé, un côté cool émergent (le Brooklyn des Balkans) et une histoire communiste visible partout, Tirana offre l'expérience urbaine la plus accessible d'Albanie : une capitale post-communiste brute, authentique et étonnamment dynamique qui se découvre.

Ce qu'il faut faire

L'héritage communiste

Bunk'Art 1 Bunker de la guerre froide

Énorme bunker souterrain (3 000 m², 106 pièces) construit pour Enver Hoxha et l'élite communiste pendant la paranoïa de la guerre froide, jamais utilisé. Aujourd'hui, c'est un musée qui explore la dictature albanaise de 1945 à 1991. Entrée à environ 900 ALL (~9 €), ou 1 000 ALL avec audioguide ; billet combiné Bunk'Art 1+2 ~1 300 ALL (~13 €) — ouvert tous les jours de 9 h à 19 h en été, de 9 h à 16 h en hiver. Situé à la périphérie de Tirana (bus ou taxi 5 €–7 € à 15 min du centre). Les expos parlent du régime de Hoxha, des méthodes de la police secrète, de la vie quotidienne sous l'isolement, des prisonniers politiques et de la rupture de l'Albanie avec l'URSS puis la Chine. Les installations originales du bunker sont conservées : salles de décontamination, salles de réunion, quartiers d'habitation. C'est un lieu obsédant et instructif — la dictature albanaise était la plus extrême d'Europe (athéisme imposé, frontières fermées). Installations d'art contemporain un peu partout. Prévoyez 2 à 3 heures. Il fait super froid à l'intérieur, prenez une veste même en été. Une expérience forte pour comprendre le passé de l'Albanie. À combiner avec Bunk'Art 2 dans le centre-ville (thématique différente) pour avoir une vue d'ensemble.

Bunk'Art 2 Musée de la police secrète

Deuxième musée bunker dans le centre de Tirana (près du ministère de l'Intérieur, rue Abdi Toptani) — plus petit que Bunk'Art 1, il se concentre sur la brutalité de la police secrète Sigurimi. Entrée environ 900 ALL (~9 €), audioguide en supplément — ouvert tous les jours de 9 h à 19 h. Bunker souterrain construit pour le ministère de l'Intérieur pendant la guerre froide. Les expositions documentent la surveillance, les interrogatoires, l'emprisonnement et les exécutions des « ennemis du peuple ». Histoires personnelles des victimes, méthodes de torture, matériel de propagande. L'Albanie a emprisonné plus de prisonniers politiques par habitant que n'importe quel autre État communiste. Le musée révèle la paranoïa qui animait le régime de Hoxha : dénonciations par les voisins, arrestations arbitraires, camps de travail. Une compréhension historique troublante mais importante. Situé en centre-ville, à 10 minutes à pied de la place Skanderbeg. Plus facile d'accès que Bunk'Art 1. Souvent moins fréquenté. Prévoyez 1 à 2 heures. Photos autorisées. Déconseillé aux jeunes enfants en raison du contenu explicite. Fait partie du travail de mémoire de l'Albanie sur son passé communiste.

House of Leaves (Musée de la surveillance secrète)

Ancien quartier général de la police secrète (Sigurimi), aujourd'hui transformé en musée présentant les techniques de surveillance utilisées contre les Albanais. Entrée ALL 700/7 € ouvert du mardi au samedi de 9 h à 16 h, le dimanche de 9 h à 14 h (fermé le lundi). Situé près de la Galerie nationale d'art. Deux étages présentent des appareils d'écoute, des caméras cachées, du matériel d'interrogatoire et des dossiers d'informateurs. L'Albanie a mis sur écoute des maisons, des lieux de travail et des espaces publics. On estime qu'un Albanais sur cinq a joué le rôle d'informateur. Le bâtiment lui-même était utilisé à des fins de surveillance : il abritait des salles où les citoyens étaient espionnés. Atmosphère effrayante. Matériel d'origine datant de 1945 à 1991. Témoignages des victimes documentés. Musée très petit, comptez une heure pour la visite. Moins fréquenté que Bunk'Art, mais tout aussi important. Son nom vient du roman d'Ismail Kadare. Les billets sont souvent complets, arrivez tôt ou réservez à l'avance. Combiné avec Bunk'Arts, il offre une vue d'ensemble de la répression communiste en Albanie.

Tirana aujourd'hui

Place Skanderbeg et ville colorée

L'immense place centrale de Tirana (40 000 m²) porte le nom du héros national Skanderbeg (qui a combattu les Ottomans dans les années 1400). Tu peux t'y balader librement, elle est toujours accessible. La place comprend : la statue équestre de Skanderbeg, la mosquée Et'hem Bey (1794 — a survécu à la période communiste athée, entrée gratuite en dehors des heures de prière), la tour de l'horloge (Kulla e Sahatit, ALL 200/2 € 1822), le musée national d'histoire (le plus grand d'Albanie, ALL 700, façade en mosaïque représentant l'histoire albanaise). La place piétonne depuis 2017 : fontaines, jardins fleuris, cafés en plein air. Les bâtiments gouvernementaux colorés peints par l'artiste-maire Edi Rama (années 2000) ont transformé les blocs communistes gris : des façades dignes d'Instagram en orange, bleu, jaune, rose. Symbole de la transformation de Tirana : d'une dictature isolée à une capitale dynamique. Les artistes de rue, les événements, les manifestations, tout se passe ici. Meilleurs spots pour prendre des photos : la mosquée avec ses bâtiments colorés, la statue avec les montagnes en arrière-plan. Le soir : illuminée, les gens du coin s'y promènent. Fais gaffe aux pickpockets dans la foule. WiFi gratuit disponible.

Téléphérique du parc national du mont Dajti

Le téléphérique panoramique (Dajti Ekspres) monte de la banlieue de Tirana à 1 050 m d'altitude en 15 minutes. Le billet aller-retour coûte entre 1 000 et 1 500 ALL (~10 €–15 €) pour un adulte, et environ la moitié pour les enfants. Vérifie les tarifs actuels sur le site officiel. Il fonctionne tous les jours (si le temps le permet) de 9 h à 19 h environ en été, et moins longtemps en hiver. Rejoignez la station de départ en taxi (ALL 700-1 000/7 €–10 € depuis le centre, 15 min). Le trajet : télécabine de fabrication autrichienne qui grimpe à travers la forêt et offre une vue panoramique sur Tirana, qui s'étend jusqu'à la mer Adriatique par temps clair. Au sommet : restaurants (10 €–20 € ), restaurant tournant de l'hôtel Dajti (vue à 360°, cher), sentiers de randonnée, aire de jeux. Destination populaire le dimanche pour les familles de Tirana qui veulent échapper à la chaleur de la ville. Température inférieure de 10 °C à celle de Tirana : pensez à prendre une veste légère. Sentiers de VTT disponibles. Hiver : activités de neige. Meilleur moment : fin d'après-midi pour admirer le coucher de soleil sur l'Adriatique, puis descente en téléphérique au crépuscule. Réservez votre restaurant à l'avance le week-end. Peut être bondé, plus calme en semaine. Ça vaut le détour pour la vue et pour échapper au chaos urbain.

Transformation du quartier de Blloku

Le quartier le plus branché de Tirana, c'était avant une zone interdite où vivaient derrière des murs les élites communistes (la famille d'Enver Hoxha, le Politburo). Après 1991, il a été ouvert au public et s'est transformé en bars, restos, cafés et boutiques. C'est maintenant le centre de la vie nocturne de Tirana. Pendant la journée : cafés spécialisés (Mon Cheri, Sophie Caffe), endroits pour bruncher, boutiques vintage. Le soir : plein de bars et restaurants : Mullixhiu (cuisine albanaise moderne, réservation indispensable, 20 €–30 €), Salt (restaurant-bar branché), Radio Bar (cocktails, soirées DJ). Tard dans la nuit : clubs ouverts après minuit. Rues bordées d'arbres, sympas pour les piétons. Clientèle jeune et aisée. Ancienne villa de Hoxha visible (gardée, interdite d'accès) — symbole du privilège sous le communisme « sans classes ». Ironie qui n'échappe pas aux Albanais : la zone interdite est désormais le terrain de jeu du capitalisme. Comparez avec les blocs communistes gris ailleurs — contraste saisissant. Sûr, praticable à pied, familial pendant la journée, zone de fête la nuit. Meilleure soirée à Tirana. Code vestimentaire : chic et décontracté. Espèces acceptées partout.

Tirana et ses environs

Pyramide de Tirana et art urbain

Pyramide brutaliste en béton construite en 1988 pour servir de mausolée à Enver Hoxha, monument controversé que les Albanais adorent détester. Fermée pendant des années, elle est aujourd'hui partiellement accessible : les habitants escaladent ses flancs inclinés (ce qui est techniquement illégal, mais toléré). La pyramide symbolise la relation compliquée de Tirana avec son passé communiste. Le gouvernement débat sans cesse entre démolition et rénovation. Le street art recouvre les environs. Intéressant pour les fans d'architecture et de brutalisme. Situé à quelques pas de la place Skanderbeg (10 min). À voir de préférence en fin d'après-midi, lorsque les grimpeurs tentent d'escalader ses flancs. C'est l'occasion de prendre des photos illustrant le déclin post-communiste. À proximité, le marché rénové Pazari i Ri (Nouveau Bazar) propose des cafés et des restaurants. La pyramide incarne le charme chaotique de Tirana : rien n'est achevé, tout est en transition. On l'aime ou on la déteste, mais impossible de l'ignorer. Apportez votre appareil photo : le béton recouvert de graffitis sur fond de ville colorée raconte visuellement l'histoire de l'Albanie.

Excursion d'une journée au château de Krujë

Forteresse médiévale à 32 km au nord de Tirana, le site historique le plus important d'Albanie. Le musée Skanderbeg à l'intérieur du château (ALL 400/4 €) rend hommage au héros national qui a résisté à l'invasion ottomane de 1443 à 1468. Le château est situé dans un cadre spectaculaire, perché sur une colline avec vue sur la vallée. Le vieux bazar (Pazari i Vjetër) en contrebas du château vend de l'artisanat traditionnel, des tapis et des antiquités. Excursion d'une demi-journée : bus depuis la gare routière nord de Tirana (ALL 150/2 € 1 heure, toutes les 30 minutes) ou taxi privé (20 €–25 € aller-retour). Le complexe du château comprend : un musée, des ruines médiévales, un musée ethnographique, une mosquée de l'époque ottomane. Superbes vues depuis les remparts. Moins de monde que les attractions de Tirana. À combiner avec un déjeuner dans un resto traditionnel dans le quartier du château. Retour dans l'après-midi. Une excursion qui vaut le coup pour les passionnés d'histoire et ceux qui veulent s'évader de la capitale. L'identité nationale albanaise est fortement liée à la résistance de Skanderbeg.

Cuisine traditionnelle albanaise et raki

La cuisine albanaise mélange des influences balkaniques, grecques et turques. À goûter absolument : tavë kosi (agneau cuit au four avec du yaourt, ALL 800-1 200/8 €–12 €), fërgesë (poivrons, tomates, fromage, ail, ALL 600-900), byrek (tarte salée au fromage ou à la viande, ALL 200-300 en collation), qofte (boulettes de viande grillées, ALL 500-800). Petit-déjeuner : byrek avec du yaourt ou de l'ayran (boisson au yaourt). Déjeuner : tavë kosi. Dîner : grillades variées. Restaurants : Oda (déco traditionnelle, OLD ambiance tiranaise, 12 €–18 € plats principaux), Mrizi i Zanave (produits de la ferme à la table, en dehors du centre mais ça vaut le coup, 15 €–25 €), Mullixhiu (version moderne des classiques albanais, 18 €–30 € réservation indispensable). Raki : eau-de-vie albanaise de raisin ou de prune, forte (40 %+), servie avec les repas, tradition de toast importante. À essayer aussi : le vin local (Shesh i Zi rouge, Shesh i Bardhë blanc), la bière artisanale (Birra Korça, Tirana Beer). Nourriture de rue : stands de byrek partout ALL 150/2 € Repas abordables — repas complet 8 €–15 € Portions généreuses. Hospitalité généreuse — attendez-vous à des recharges, des repas prolongés, une ambiance familiale.

Informations sur les voyages

Pour y arriver

  • Aéroports: TIA

Meilleur moment pour visiter

avril, mai, juin, septembre, octobre

Climat: Chaud

Météo par mois

Meilleurs mois: avr., mai, juin, sept., oct.Les plus populaires: juil. (32°C) • Le plus sec: nov. (1d pluie)
janv.
12°/
💧 7d
févr.
14°/
💧 8d
mars
17°/
💧 11d
avr.
20°/
💧 10d
mai
24°/13°
💧 5d
juin
26°/16°
💧 10d
juil.
32°/20°
💧 3d
août
32°/21°
💧 5d
sept.
29°/18°
💧 7d
oct.
22°/12°
💧 13d
nov.
18°/
💧 1d
déc.
15°/
💧 13d
Super!
Bien
💧
Humide
Données météo mensuelles
Mois Élevé Faible Jours de pluie Condition
janvier 12°C 1°C 7 Bien
février 14°C 4°C 8 Bien
mars 17°C 6°C 11 Bien
avril 20°C 9°C 10 Super! (idéalement)
mai 24°C 13°C 5 Super! (idéalement)
juin 26°C 16°C 10 Super! (idéalement)
juillet 32°C 20°C 3 Bien
août 32°C 21°C 5 Bien
septembre 29°C 18°C 7 Super! (idéalement)
octobre 22°C 12°C 13 Super! (idéalement)
novembre 18°C 8°C 1 Bien
décembre 15°C 8°C 13 Humide

Données météo: archives Open-Meteo (2020-2024) • Open-Meteo.com (CC BY 4.0) • Moyenne historique 2020–2024

Budget

Budget 51 €/jour
Milieu de gamme 122 €/jour
Le luxe 255 €/jour

Exclut les vols

Exigences en matière de visa

Uniquement espace Schengen (sans visa)

💡 🌍 Conseil aux voyageurs (novembre 2025): Meilleur moment pour visiter: avril, mai, juin, septembre, octobre.

Informations pratiques

Pour y arriver

L'aéroport de Tirana (TIA) est à 17 km au nord-ouest. Les bus pour le centre coûtent ALL 400/4 € (30 min). Taxis ALL 2 500-3 000/25 €–30 € (conviens du prix avant, il y a des arnaques). Des bus relient les villes régionales : Berat (2 h 30, 5 €), Saranda (6 h, 15 €), Pristina (5 h, 10 €). Pas de trains en état de marche. Gare routière au nord-ouest du centre.

Se déplacer

Le centre de Tirana est compact et facile à parcourir à pied : la place Skanderbeg est à 15 minutes de Blloku. Les bus urbains (ALL 40/0 €) desservent des zones plus éloignées, mais ils sont chaotiques. Les taxis sont bon marché : utilisez des applications ou négociez le prix (ALL 500-1 000/5 €–10 € en général). La plupart des attractions sont accessibles à pied. Évitez de louer une voiture en ville, car la circulation est anarchique et le stationnement chaotique. Louez-en une pour faire des excursions d'une journée sur la côte.

Argent et paiements

Lek albanais (ALL). Taux de change : 1 € ≈ 100 ALL, 1 € ≈ 92 ALL. Les euros sont largement acceptés dans les zones touristiques. Il y a plein de distributeurs automatiques. Les cartes bancaires sont acceptées dans les hôtels et les restos. Il faut de l'argent liquide pour les marchés, la nourriture de rue et les petits magasins. Pourboires : arrondissez ou donnez 10 %. C'est super abordable, votre budget vous permettra de faire beaucoup de choses.

Langue

L'albanais est la langue officielle. Les jeunes parlent anglais dans les zones touristiques et leur niveau s'améliore rapidement. L'italien est largement compris (grâce à des décennies de télévision italienne). La génération plus âgée ne parle parfois que l'albanais. Les panneaux sont souvent uniquement en albanais. Il est utile d'apprendre quelques phrases de base : Faleminderit (merci), Ju lutem (s'il vous plaît). L'anglais touristique est de plus en plus répandu.

Conseils culturels

Histoire communiste : dictature d'Enver Hoxha de 1944 à 1991, bunkers partout (750 000 construits), visite incontournable de Bunk'Art. Pyramide : mausolée de Hoxha, aujourd'hui en ruines, accessible, controversé. Bâtiments colorés : le maire Edi Rama a repeint en couleurs les immeubles communistes gris. Skanderbeg : héros national, a défendu le pays contre les Ottomans dans les années 1400. Blloku : ancienne zone réservée à l'élite, aujourd'hui remplie de bars et de cafés branchés. Culture des cafés : espresso à volonté, style italien, lieu de rencontre. Byrek : tarte salée, petit-déjeuner/collation. Tavë kosi : agneau au yaourt, plat national. Raki : eau-de-vie de raisin/prune, forte, traditionnelle. Bazar : vieux quartier, mosquées, héritage ottoman. Circulation : anarchique, peu de règles respectées, traversez avec précaution. Dimanche : les magasins sont ouverts. Destination émergente : amélioration des infrastructures, développement du tourisme. Bon marché : l'Albanie est le pays le moins cher d'Europe, profitez de ses prix abordables. Enlevez vos chaussures dans les maisons albanaises. Mosquées : habillez-vous modestement. Mont Dajti : échappez à la chaleur de la ville, restaurant au sommet.

Itinéraire parfait de 2 jours à Tirana

1

Ville et bunkers

Matin : place Skanderbeg, mosquée Et'hem Bey, tour de l'horloge (ALL 200/2 €). Promenade dans les boulevards colorés. Midi : déjeuner à Oda (cuisine albanaise traditionnelle). Après-midi : Bunk'Art 1 (~900 ALL/9 € 2-3 heures dans un immense bunker). Soirée : quartier Blloku — dîner à Mullixhiu, boissons au Radio Bar, culture café.
2

Montagne et excursion d'une journée

Matin : téléphérique du mont Dajti (1 000-1 500 ALL/10 €–15 €), vue panoramique. Autre option : excursion d'une journée au château de Krujë (1 h, 2 €) ou à Berat (2 h 30). Midi : Déjeuner en montagne ou retour à Tirana. Après-midi : Quartier du bazar, Maison des feuilles (ALL 700), ascension de la pyramide. Soirée : Dîner d'adieu à Mrizi i Zanave, dernier raki.

Où séjourner en Tirana

Place/Centre Skanderbeg

Meilleur pour: Place principale, mosquées, musées, hôtels, centre-ville, touristique, piéton

Blloku

Meilleur pour: Ancien quartier chic, maintenant plein de bars, restos, boîtes de nuit, cafés, hipsters, branchés.

Bazar/Vieille ville

Meilleur pour: Patrimoine ottoman, traditionnel, marchés, authentique, architecture ancienne

Nouveau boulevard

Meilleur pour: Tirana moderne, promenade au bord du fleuve, développement, contemporain, nouveaux projets

Questions fréquemment posées

Est-ce que j'ai besoin d'un visa pour aller à Tirana ?
L'Albanie ne fait pas partie de l'UE ni de l'espace Schengen. La plupart des citoyens de l'UE, des États-Unis, du Royaume-Uni, du Canada et de l'Australie peuvent entrer sans visa pour un séjour de 90 jours maximum sur une période de 180 jours. Le passeport doit être valide 3 mois après la fin du séjour. Vérifie toujours les dernières règles sur le site officiel des visas électroniques de l'Albanie : les politiques sont très généreuses pour les touristes.
C'est quand le meilleur moment pour aller à Tirana ?
Les mois d'avril à juin et de septembre à octobre offrent des conditions météo idéales (18-28 °C) pour les balades et les excursions d'une journée. Les mois de juillet et août sont très chauds (30-38 °C). L'hiver (novembre-mars) est doux (5-15 °C) mais humide, et c'est la basse saison, donc c'est calme. Au printemps, la ville se pare de verdure. Les saisons intermédiaires sont parfaites : températures agréables, moins de touristes. L'été est animé mais la chaleur est intense.
Combien coûte un voyage à Tirana par jour ?
Les voyageurs à petit budget ont besoin de 25 à 45 € par jour pour les auberges, la nourriture de rue et les balades. Les visiteurs de gamme moyenne doivent prévoir un budget de 50 à 85 € par jour pour les hôtels, les repas au resto et les musées. Luxe limité : 120 € ou plus par jour. Bunk'Art ALL 700/7 €, téléphérique ALL 1 000/10 €, repas ALL 800-1 500/8 €–15 €, bière ALL 200-300/2 €–3 €. L'Albanie est super abordable, c'est l'une des capitales les moins chères d'Europe.
Est-ce que Tirana est une ville sûre pour les touristes ?
Tirana est globalement sûre et la sécurité s'améliore. Les pickpockets s'attaquent aux touristes sur la place Skanderbeg et au bazar : surveille tes affaires. Certaines banlieues sont moins sûres la nuit : reste dans le centre et à Blloku. La circulation est chaotique : traverse avec précaution. Les voyageurs seuls se sentent en sécurité dans les zones touristiques. Les principaux problèmes sont les conducteurs agressifs et les arnaques occasionnelles. Globalement plus sûr que sa réputation ne le laisse penser.
Quelles sont les attractions incontournables à Tirana ?
Va voir Bunk'Art 1 (~900 ALL/9 € un énorme musée dans un bunker ; billet combiné avec Bunk'Art 2 ~1 300 ALL). Promène-toi sur la place Skanderbeg, va voir la mosquée Et'hem Bey, grimpe dans la tour de l'horloge (ALL 200/2 €). Prends le téléphérique du mont Dajti (1 000-1 500 ALL/10 €–15 €). Explore le quartier nocturne de Blloku. Ajoute la Maison des feuilles (ALL 700) et l'ascension de la pyramide. Fais une excursion d'une journée à Berat (2 h 30) ou Krujë (1 h). Goûte le tavë kosi, le byrek et le raki. Le soir : bars de Blloku, culture des cafés.

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